À ma droite, convoyés par leurs éducateurs,
passaient des adultes ravis, étrangers
à la fête alentour et que leur esprit
entravé empêchait de profiter du spectacle.

Ils étaient grands, petits, pâles ou renfrognés
mais leur regard étrange et à peine aperçu,
malgré la lenteur de leur marche, me dit combien
ils étaient mes frères et sœurs en ce mois de juillet.