Le mien, à la couverture sang, a troqué le français
pour le catalan de Sinera et Anouilh pour Espriu
et nous avançons tous deux entre Créon et Polynice,

attachés au funeste destin de notre sœur de deuil
refusant la compromission que trop souvent le monde
exige, les yeux bienséamment bandés par de cupides mains.