Hexasyllabes du vent
Par Michel Bourret Guasteví le vendredi 23 décembre 2011, 00:39 - l'écume des jours - Lien permanent
Je parle peu de moi.
La faute à ton sourire ?
La faute à ton sourire ?
Ou celle de la soie
dont tu pares ton rire.
Le miroir n'est pas moi
mais tes yeux me font vivre.
Vivre sans foi ni loi,
je veux bien. Dans les livres
qui me parlent de toi
jusqu'à m'en rendre ivre.
dont tu pares ton rire.
Le miroir n'est pas moi
mais tes yeux me font vivre.
Vivre sans foi ni loi,
je veux bien. Dans les livres
qui me parlent de toi
jusqu'à m'en rendre ivre.