et que vaincues elles s'en allèrent,
à Messine, enchanter les marins en
goguette, de leurs ritournelles gouailleuses.

Ma sirène, elle, ignore de la Sicile le charme
des baies tièdes et se ressource dans l'Ardêche
quand le printemps se fait. Nageant dans l'eau

glacée, silencieuse, elle fredonne pourtant
des chants délicieux qui me parviennent, enchantent
mon cœur et font naître ces mots qu'à présent vous lisez.