L'étang de Vendres
Par Michel Bourret Guasteví le jeudi 9 août 2012, 16:16 - l'écume des jours - Lien permanent
Il échappe à toute situation,
du moins voulais-je le croire.
du moins voulais-je le croire.
Je l'ai longé par deux fois,
à tes côtés sur un chemin empierré.
La route était lente et le soleil haut.
Le miroir de ses eaux se trouait de bois
antiques croisés par des cordages. Nul pêcheur
ni marinier, nulle barque mais l'appel des
hautes herbes à s'y venir baigner, ma main
dedans la tienne, nos pieds tièdement envasés
et, sur nos lèvres, une chanson de Lluis LLach,
maintes fois entendue quand nous nous découvrions.
à tes côtés sur un chemin empierré.
La route était lente et le soleil haut.
Le miroir de ses eaux se trouait de bois
antiques croisés par des cordages. Nul pêcheur
ni marinier, nulle barque mais l'appel des
hautes herbes à s'y venir baigner, ma main
dedans la tienne, nos pieds tièdement envasés
et, sur nos lèvres, une chanson de Lluis LLach,
maintes fois entendue quand nous nous découvrions.