Comme l'oiseau sur la branche
Par Michel Bourret Guasteví le mardi 30 octobre 2012, 07:35 - l'écume des jours - Lien permanent
Le vent soufflait aigre et il rentrait le cou,
ce petit oiseau que la pluie de gel avait terni.
ce petit oiseau que la pluie de gel avait terni.
Nul trille, nul chant mélodieux autour de la maison,
seules ses griffes rosées agrippant la branchette.
Il suffirait de bien peu pourtant pour qu'il s'éveille
déploie ses ailes de couleurs et nous enchante de sa voix.
Ainsi es-tu quand l'automne se fait d'hiver qui écaille
la vue. Ainsi seras-tu, bientôt quand nous nous retrouverons.
seules ses griffes rosées agrippant la branchette.
Il suffirait de bien peu pourtant pour qu'il s'éveille
déploie ses ailes de couleurs et nous enchante de sa voix.
Ainsi es-tu quand l'automne se fait d'hiver qui écaille
la vue. Ainsi seras-tu, bientôt quand nous nous retrouverons.