Nul trille, nul chant mélodieux autour de la maison,
seules ses griffes rosées agrippant la branchette.

Il suffirait de bien peu pourtant pour qu'il s'éveille
déploie ses ailes de couleurs et nous enchante de sa voix.

Ainsi es-tu quand l'automne se fait d'hiver qui écaille
la vue. Ainsi seras-tu, bientôt quand nous nous retrouverons.