Comme
Par Michel Bourret Guasteví le mercredi 23 janvier 2013, 04:08 - l'écume des jours - Lien permanent
Comme un oisillon duveteux,
au chaud dans mes mains closes,
ton cœur somnole et songe.
au chaud dans mes mains closes,
ton cœur somnole et songe.
La distance n'est plus, ce mirage
trompeur, et ton souffle bat serein.
Loin est le réveil qui gercera
tes paupières, comme loin est
le caniveau glacé où ton pas se
perdit, un trente février.
trompeur, et ton souffle bat serein.
Loin est le réveil qui gercera
tes paupières, comme loin est
le caniveau glacé où ton pas se
perdit, un trente février.