Pensées
Par Michel Bourret Guasteví le jeudi 31 janvier 2013, 19:25 - l'écume des jours - Lien permanent
Tes paupières zèbrent la nuit
que rougissent tes yeux.
La fatigue s'installe et ta voix
s'émaille de reflets de bronze.
que rougissent tes yeux.
La fatigue s'installe et ta voix
s'émaille de reflets de bronze.
Il n'est plus de saison, pas plus
que de minutes. Tes doigts seuls
comptent le temps, jusqu'à la nuit
qui tombe et m'envahit soudain.
que de minutes. Tes doigts seuls
comptent le temps, jusqu'à la nuit
qui tombe et m'envahit soudain.