Morvan
Par Michel Bourret Guasteví le mardi 14 mai 2013, 15:11 - l'écume des jours - Lien permanent
Morvan lent et humide,
le train glisse sur tes prés
où paissent, le regard bas, des bovins
sans âge ni projet.
le train glisse sur tes prés
où paissent, le regard bas, des bovins
sans âge ni projet.
Morvan brumeux de l'enfance
sur l'autoroute en pointillés,
que longue était la descente
qui jamais ne t'accrochait.
Morvan, virgule de mes vers,
toi dont le paysage est toile triste
pour mes amours enfouies.
Morvan, confie-moi de mon aimée la vie.
sur l'autoroute en pointillés,
que longue était la descente
qui jamais ne t'accrochait.
Morvan, virgule de mes vers,
toi dont le paysage est toile triste
pour mes amours enfouies.
Morvan, confie-moi de mon aimée la vie.