l'étrave a besoin de l'épreuve des flots rugissants
avant le somme du ponton. Le mois s'est achevé

qui nous a séparés comme un fagot de bois sec
et sonore. Serein, je la revois et m'en fait un bouquet

de fleurs petires et odorantes. Je l'emporte partout
avec moi et de là, généreuse, elle irradie tendrement.