Barcelonaître
Par Michel Bourret Guasteví le dimanche 9 juin 2013, 09:09 - l'écume des jours - Lien permanent
Barcelone est encore et qui déjà n'est plus,
j'étire le matin derrière les persiennes closes.
j'étire le matin derrière les persiennes closes.
Mes vers se veulent hommage à toutes ses profusions,
en femmes, en hommes, en lieux. Trois jours sont peu
qui pourtant me fécondent. Le printemps n'est déjà plus
qui a tardé à naître. Je sens poindre l'été et lui fais
révérence. Est-il d'ailleurs rien de plus beau, au cœur
du quotidien, que de barcelonaître, toujours et à nouveau ?
en femmes, en hommes, en lieux. Trois jours sont peu
qui pourtant me fécondent. Le printemps n'est déjà plus
qui a tardé à naître. Je sens poindre l'été et lui fais
révérence. Est-il d'ailleurs rien de plus beau, au cœur
du quotidien, que de barcelonaître, toujours et à nouveau ?