Mes vers se veulent hommage à toutes ses profusions,
en femmes, en hommes, en lieux. Trois jours sont peu

qui pourtant me fécondent. Le printemps n'est déjà plus
qui a tardé à naître. Je sens poindre l'été et lui fais

révérence. Est-il d'ailleurs rien de plus beau, au cœur
du quotidien, que de barcelonaître, toujours et à nouveau ?