Ton sourire et ta voix
Par Michel Bourret Guasteví le mercredi 26 juin 2013, 21:51 - l'écume des jours - Lien permanent
Le fleuve moussait blanc
sous le pont suspendu
quand tu nous amenas
sous le pont suspendu
quand tu nous amenas
sur les sonores galets.
Nous étions trois, nous
aurions pu être mille ou
cent. Je ne voyais que toi
et buvais à ta voix. Ton sourire
guidait les boules de couleurs
qui défirent le soir. La nuit a
effacé le pont et le gravier mais
ton sourire reste qui me parle à jamais.
Nous étions trois, nous
aurions pu être mille ou
cent. Je ne voyais que toi
et buvais à ta voix. Ton sourire
guidait les boules de couleurs
qui défirent le soir. La nuit a
effacé le pont et le gravier mais
ton sourire reste qui me parle à jamais.