Tu dors
Par Michel Bourret Guasteví le jeudi 11 juillet 2013, 05:32 - l'écume des jours - Lien permanent
Tu dors et je pense
à la ville étouffante
que jamais tu ne quittes,
à la ville étouffante
que jamais tu ne quittes,
même quand t'appellent,
un brin, les antiques cités.
Je me glisse par le balcon
étroit qui m'écrase de vertige
et j'écris mon désir sur tes murs
blancs et nus. Tu dors sereine
et je me plais à raviver le souvenir
violent des jours passés où je te
tenais la main sans cesser de te
regarder.
un brin, les antiques cités.
Je me glisse par le balcon
étroit qui m'écrase de vertige
et j'écris mon désir sur tes murs
blancs et nus. Tu dors sereine
et je me plais à raviver le souvenir
violent des jours passés où je te
tenais la main sans cesser de te
regarder.