Un matin frais
Par Michel Bourret Guasteví le lundi 15 juillet 2013, 10:00 - l'écume des jours - Lien permanent
La fraîcheur est sur le café lent,
le patron s'active avec parcimonie.
le patron s'active avec parcimonie.
Plus haut, parmi les dépouilles colorées
de rugbymen oubliés, la télévision me parle
de ta ville et de ses acquisitions sportives. Je
te sens qui dors chez nous, non loin. Bientôt
je quitterai ce café où l'on parle de boissons anisées,
heureux, le cœur dans tes étoiles innombrables.
de rugbymen oubliés, la télévision me parle
de ta ville et de ses acquisitions sportives. Je
te sens qui dors chez nous, non loin. Bientôt
je quitterai ce café où l'on parle de boissons anisées,
heureux, le cœur dans tes étoiles innombrables.