Onze journées
Par Michel Bourret Guasteví le mardi 27 août 2013, 17:05 - l'écume des jours - Lien permanent
Onze journées sans vers, à caresser
ta main et sécher mon encre au feu
de tes yeux verts.
ta main et sécher mon encre au feu
de tes yeux verts.
Onze journées à attendre que la flamme
neuve de tes cheveux embaume mes couchers
et puis m'enchante.
Onze journées à deviser, de jour comme de
nuit, dans un mois d'août à nul autre pareil,
d'une ville à l'autre.
Onze journées, c'est court pour un funambule
réticulaire. C'est pourtant le juste temps
pour recommencer à écrire.
neuve de tes cheveux embaume mes couchers
et puis m'enchante.
Onze journées à deviser, de jour comme de
nuit, dans un mois d'août à nul autre pareil,
d'une ville à l'autre.
Onze journées, c'est court pour un funambule
réticulaire. C'est pourtant le juste temps
pour recommencer à écrire.