Premières impressions voironnaises
Par Michel Bourret Guasteví le samedi 14 septembre 2013, 09:47 - l'écume des jours - Lien permanent
Le pas glisse dans la ville silencieuse,
l'air a fraîchi, les rues rétives aux
rares voitures.
l'air a fraîchi, les rues rétives aux
rares voitures.
L'on passe le pont de fonte, les platanes
s'inclinent. Un boisseau de banques illuminées
rappellent notre monde.
La bière est fraîche en terrasse, quoique coupée
d'eau, à la canaille, par le patron sautillant.
Le tour prend fin.
Il n'est pas onze heures, la ville s'endort déjà
qui entre peu à peu en moi.
s'inclinent. Un boisseau de banques illuminées
rappellent notre monde.
La bière est fraîche en terrasse, quoique coupée
d'eau, à la canaille, par le patron sautillant.
Le tour prend fin.
Il n'est pas onze heures, la ville s'endort déjà
qui entre peu à peu en moi.