Matois, j'ai tardé, je tarde
encore à soulever les volets.
Sans lumière, il ne serait pas
et j'ai besoin

de la lumière du jour pour l'amadouer,
m'en assurer. Ça y est, je me décide,
il est 6 h 34, je les soulève.
Un, deux, trois... Nuit noire.