Nocturne
Par Michel Bourret Guasteví le mercredi 7 décembre 2011, 04:25 - l'écume des jours - Lien permanent
Froideurs de la nuit
sans heure, grise et froide.
sans heure, grise et froide.
Pensées engluées, silence.
Pesanteur de l'insomnie.
Délices de la veille
en silence, patiente.
Beauté de la fleur rêvée,
si proche, chaude encore.
Envie de la retrouver,
patiemment, silencieusement.
Et de lui glisser à l'oreille
l'amour accumulé, lentement
tout au long de la journée
passée, promesse d'avenir.
Froideurs de la nuit.
Espérances sans frein.
Pesanteur de l'insomnie.
Délices de la veille
en silence, patiente.
Beauté de la fleur rêvée,
si proche, chaude encore.
Envie de la retrouver,
patiemment, silencieusement.
Et de lui glisser à l'oreille
l'amour accumulé, lentement
tout au long de la journée
passée, promesse d'avenir.
Froideurs de la nuit.
Espérances sans frein.