Torrentueuses, assourdissantes,
qui effaçaient la rue sous leur eau dégorgée.

À leur place, un ridicule crachin dont rient
les étourneaux pas encore partis vers des cieux plus riants.

L'hiver viendra bientôt, sans automne violent,
et les tisons de Pâques s'uniront au balcon de Noël.

Mais quelque part, au fond de moi, je garderai la nostalgie
de ces jours où, trempé, je me métamorphosais en chat, mon complice ennemi.