langues
Par Michel Bourret Guasteví le jeudi 15 décembre 2011, 06:58 - l'écume des jours - Lien permanent
Le vent était mauvais qui m'aveuglait de bruine
sur cette côte insolente et perdue quand un jour
de décembre je faillis te perdre par mes mots inouïs.
sur cette côte insolente et perdue quand un jour
de décembre je faillis te perdre par mes mots inouïs.
Ma langue, complice quotidienne, m'avait entravé
l'esprit et je m'égarai longuement, brouillant
tes yeux d'un long rideau de perles grises.
Le silence est mauvais qui gèle les pensées
et la langue est belle quand elle naît au printemps
de l'hiver de ton sourire ébloui et sincère.
l'esprit et je m'égarai longuement, brouillant
tes yeux d'un long rideau de perles grises.
Le silence est mauvais qui gèle les pensées
et la langue est belle quand elle naît au printemps
de l'hiver de ton sourire ébloui et sincère.