Dehors, les buissons naguère odorants se givrent
du vent coulis de l'année finissante. Où sont
ces oiseaux frêles qui nous égayaient de leur chant ?

Le réveillon viendra avec ses flonflons assourdissants,
ses cotillons et ses masques des années révolues.
Qu'il me peigne janvier aux couleurs de tes mots.