Bella gente (è vero)
Par Michel Bourret Guasteví le mardi 27 décembre 2011, 23:52 - l'écume des jours - Lien permanent
L'absence est belle quand je te sais heureuse
auprès de tes amis que les ans ont mûris. Lydia,
Loïc et Deborah venus des quatre coins de ce mouchoir
auprès de tes amis que les ans ont mûris. Lydia,
Loïc et Deborah venus des quatre coins de ce mouchoir
tendre qu'on appelle la terre et que vous serrez enfin
à gorge déployée. Le vin coule, les rires fusent. L'une
est belle auprès de son amour d'Espagne si tendre, rêveuse.
L'autre est la vie pleine dans son sourire, chaleur de nos soirées,
qui vend à l'ordinaire ces habitants de la mer qu'un Dieu multiplia.
Le troisième larron enfin, qui fut mon élève naguère, est un professeur
séduisant qui déjà me rattrape et sait ce que fêter veut dire quand
la nuit perd ses heures pour mieux nous épouser. Je me tais. Dansez maintenant
jusqu'à plus soif et que le tournis des mots vous féconde hardiment.
à gorge déployée. Le vin coule, les rires fusent. L'une
est belle auprès de son amour d'Espagne si tendre, rêveuse.
L'autre est la vie pleine dans son sourire, chaleur de nos soirées,
qui vend à l'ordinaire ces habitants de la mer qu'un Dieu multiplia.
Le troisième larron enfin, qui fut mon élève naguère, est un professeur
séduisant qui déjà me rattrape et sait ce que fêter veut dire quand
la nuit perd ses heures pour mieux nous épouser. Je me tais. Dansez maintenant
jusqu'à plus soif et que le tournis des mots vous féconde hardiment.