D'opaline et de sang
Par Michel Bourret Guasteví le vendredi 20 janvier 2012, 23:15 - l'écume des jours - Lien permanent
La nuit m'est douceur
quand je te sais proche
dans le lointain. Je me couche,
quand je te sais proche
dans le lointain. Je me couche,
je veille, je suis l'envers
et l'endroit, comme tu aimes.
Tu es là sans y être : je vis.
Serre tes poings contre les draps
puis ouvre-les, intensément. De belles
fleurs naîtront. D'opaline et de sang.
et l'endroit, comme tu aimes.
Tu es là sans y être : je vis.
Serre tes poings contre les draps
puis ouvre-les, intensément. De belles
fleurs naîtront. D'opaline et de sang.