Après-midi de juin
Par Michel Bourret Guasteví le mercredi 13 juin 2012, 16:40 - l'écume des jours - Lien permanent
L'horloge ralentit qui bat à ta poitrine
et tout dort autour de toi sauf le travail
qui te parvient, par tombereaux binaires,
et ton attente qui te serre le cœur.
et tout dort autour de toi sauf le travail
qui te parvient, par tombereaux binaires,
et ton attente qui te serre le cœur.
Qui dit que la vie n'est pas dans un bureau,
que l'austère liste des chiffres et des
documents nous disjoint de notre humaine
condition ? Brisant le silence de plexiglas,
une amie vient de t'apprendre son infortune,
loin, si loin, trop loin pour que tu la puisses
étreindre pour un peu la soulager. Puisse ton
sourire, au sortir, lui faire compagnie.
que l'austère liste des chiffres et des
documents nous disjoint de notre humaine
condition ? Brisant le silence de plexiglas,
une amie vient de t'apprendre son infortune,
loin, si loin, trop loin pour que tu la puisses
étreindre pour un peu la soulager. Puisse ton
sourire, au sortir, lui faire compagnie.