Comment une démocratie, en si peu de mois,
peut-elle faire jeu égal avec une dictature
assise au terme de trois ans de combats fratricides ?

La racine de ton nom, Rajoy, fêle et étripe,
dénature et tue. Tes affidés à la poche percée,
incapables de vivifier un pays saigné par les banquiers

vendent leur âme, la chair tendre de leurs enfants.
Car nul étranger dans ces bien mal nommés populaires.
Des gens des Baléares. Petits potentats autovitriolés.