Gérone
Par Michel Bourret Guasteví le mercredi 11 juillet 2012, 16:49 - l'écume des jours - Lien permanent
J'aime Gérone, depuis l'adolescence,
mais plus encore aujourd'hui où je sais
mon grand fils dans ses rues, dévidant
mais plus encore aujourd'hui où je sais
mon grand fils dans ses rues, dévidant
pieusement son histoire et sa langue,
à l'ombre de murs rêches que le regard
des passants patine. Gérone et son vieux
fleuve indigent que domine le pont cramoisi
à l'eiffelienne géométrie. Gérone des places
et du café crème siroté en lisant, en écrivant.
à l'ombre de murs rêches que le regard
des passants patine. Gérone et son vieux
fleuve indigent que domine le pont cramoisi
à l'eiffelienne géométrie. Gérone des places
et du café crème siroté en lisant, en écrivant.