Dialogues
Par Michel Bourret Guasteví le mercredi 18 juillet 2012, 07:13 - l'écume des jours - Lien permanent
J'aime nos dialogues de la nuit,
opaline fragile au creux de ma main
tiède.
opaline fragile au creux de ma main
tiède.
Ne sont-ce pas plutôt des monologues,
voire des soliloques, car tu dors,
au loin, les cils clos sur le Rhône ?
Non, car je te sens frémir sous les mots
chuchottés et les souvenirs hâtivement
tirés du sac de nos journées.
Et je sais qu'au réveil, la fanfare de
Bouzigues quittera l'étang fécond pour
t'en faire présent, inlassablement.
voire des soliloques, car tu dors,
au loin, les cils clos sur le Rhône ?
Non, car je te sens frémir sous les mots
chuchottés et les souvenirs hâtivement
tirés du sac de nos journées.
Et je sais qu'au réveil, la fanfare de
Bouzigues quittera l'étang fécond pour
t'en faire présent, inlassablement.