Tes jambes
Par Michel Bourret Guasteví le mercredi 25 juillet 2012, 09:29 - l'écume des jours - Lien permanent
J'aime tes jambes que l'été dénude,
le soir, sur la berge, dans le clapotis
le soir, sur la berge, dans le clapotis
sage des enfants. Le soleil encore haut
les caresse et l'eau a des jalousies de
sirène ou de vouivre. La nuit peine à les
draper qui déjà se termine et le matin
se dessine dans ta course légère. Tu laces
tes hautes chaussures et je regarde tes jambes
jusqu'à ce que la journée nous sépare. Alors
je m'assieds à ma table et les revis, délicieusement.
les caresse et l'eau a des jalousies de
sirène ou de vouivre. La nuit peine à les
draper qui déjà se termine et le matin
se dessine dans ta course légère. Tu laces
tes hautes chaussures et je regarde tes jambes
jusqu'à ce que la journée nous sépare. Alors
je m'assieds à ma table et les revis, délicieusement.