me prendre. Les minutes filent,
on me voit souriant sous la belle
chemise, allant de cercle en cercle.

Mon sourire, en fait, attend le soir,
ce silencieux, où ta voix enfin s'unira
à la mienne pour glaner du chemin de belles

graminées, dont nous faisons bouquet, à
deux-cents kilomètres l'un de l'autre,
avides de nous étreindre quand septembre mourra.