Le temps
Par Michel Bourret Guasteví le vendredi 21 septembre 2012, 02:41 - l'écume des jours - Lien permanent
Le temps ne m'appartient pas,
qui glisse parfois sans toi,
la vie alors me prend ou croit
qui glisse parfois sans toi,
la vie alors me prend ou croit
me prendre. Les minutes filent,
on me voit souriant sous la belle
chemise, allant de cercle en cercle.
Mon sourire, en fait, attend le soir,
ce silencieux, où ta voix enfin s'unira
à la mienne pour glaner du chemin de belles
graminées, dont nous faisons bouquet, à
deux-cents kilomètres l'un de l'autre,
avides de nous étreindre quand septembre mourra.
on me voit souriant sous la belle
chemise, allant de cercle en cercle.
Mon sourire, en fait, attend le soir,
ce silencieux, où ta voix enfin s'unira
à la mienne pour glaner du chemin de belles
graminées, dont nous faisons bouquet, à
deux-cents kilomètres l'un de l'autre,
avides de nous étreindre quand septembre mourra.