Bollène
Par Michel Bourret Guasteví le samedi 13 octobre 2012, 09:00 - l'écume des jours - Lien permanent
De Bollène je ne sus rien
des rues ni des odeurs.
des rues ni des odeurs.
Mais je sus par tes mots,
par tes vues, que tu m'y
attendrais, non loin, chez
nous. Un autre chez nous,
non loin de l'autre route,
où les dragons subsistent.
De Bollène je ne sus rien
mais tu m'y peignis la vie
et je l'aimai.
par tes vues, que tu m'y
attendrais, non loin, chez
nous. Un autre chez nous,
non loin de l'autre route,
où les dragons subsistent.
De Bollène je ne sus rien
mais tu m'y peignis la vie
et je l'aimai.