Le cauchemar brisé
Par Michel Bourret Guasteví le dimanche 21 octobre 2012, 09:20 - l'écume des jours - Lien permanent
Le tonnerre grondait, rendant incertaine
la marche lente sur le gravier gorgé.
la marche lente sur le gravier gorgé.
Les éclairs me guidaient cependant,
fugaces, illusoires et trompeurs.
Ma peau se glaçait dans ce monde de silence
et d'absence. Tu n'étais pas là, ma muse,
quand soudain mon téléphone sonna,
tôt le matin. L'air s'éclaircit, les murs
couvrirent mes épaules, seul demeurait
du cauchemar le tonnerre lancinant et lointain.
Ta voix me rendit au monde des vivants et déjà
je pensai au repas que j'allais vous préparer.
fugaces, illusoires et trompeurs.
Ma peau se glaçait dans ce monde de silence
et d'absence. Tu n'étais pas là, ma muse,
quand soudain mon téléphone sonna,
tôt le matin. L'air s'éclaircit, les murs
couvrirent mes épaules, seul demeurait
du cauchemar le tonnerre lancinant et lointain.
Ta voix me rendit au monde des vivants et déjà
je pensai au repas que j'allais vous préparer.