Tes mains
Par Michel Bourret Guasteví le samedi 1 décembre 2012, 15:24 - l'écume des jours - Lien permanent
Nous étions près de la Yole
quand je les aperçus ces mains
timides que je rêvais d'étreindre.
quand je les aperçus ces mains
timides que je rêvais d'étreindre.
Eles étaient fines et pâles et reposaient
sur tes cuisses. Les paroles étaient minces,
nous apprenions à nous connaître. Longtemps,
rentré chez moi, je m'en inventai le grain délicat
et en devinai la chaleur inconnue. Le temps passa,
Valras nous convia sur sa berge et tu m'en fis la surprise,
bouleversante.
sur tes cuisses. Les paroles étaient minces,
nous apprenions à nous connaître. Longtemps,
rentré chez moi, je m'en inventai le grain délicat
et en devinai la chaleur inconnue. Le temps passa,
Valras nous convia sur sa berge et tu m'en fis la surprise,
bouleversante.