Ils se polissent au feu de vos regards, lecteurs amis,
et portent vos images que vous me laissez glaner.

Et même dans les plus anodins d'entre eux, qui peignent
la nature pour tenter d'en exhaler des fleurs, il y a, toujours,

une once de douleur, ou deux ou trois, peut-être, sans qui,
pour sûr, la plume ne me tiendrait pas si longtemps éveillé.