Finis terræ
Par Michel Bourret Guasteví le mardi 29 janvier 2013, 05:28 - l'écume des jours - Lien permanent
Finisterre, ô bout du monde, là où la roche noire
tranche l'eau et la marche des hommes bascule
dans l'infini amer.
tranche l'eau et la marche des hommes bascule
dans l'infini amer.
Mon amour, repousse les limites de la terre et avec
elle, que croisse mon amour. Les terres limoneuses
cèdent le pas aux rocs à bouquetins
et la mousse des monts se couvre de champignons
larges et oxydés. Je veux des terres neuves où l'accent
traîne un peu et des
confins du monde escarpés où apprendre pas à pas
ces histoires incroyables que je ne sais pas encore et
qui te feront rêver.
elle, que croisse mon amour. Les terres limoneuses
cèdent le pas aux rocs à bouquetins
et la mousse des monts se couvre de champignons
larges et oxydés. Je veux des terres neuves où l'accent
traîne un peu et des
confins du monde escarpés où apprendre pas à pas
ces histoires incroyables que je ne sais pas encore et
qui te feront rêver.