la sombre fraîcheur de l'odorant
fournil. Il est trois heures et je sens,
non loin de moi, ces hommes et ces

femmes qui pétrissent le pain,
ignorant les vies humbles de ceux
qui le viendront quérir. Ma bouche

s'emplit de salive sucrée à cette seule
pensée. Paix sur la terre aux femmes
et aux hommes qui partageront ce pain.