baryton, le piano cristallin de Nito. John Lennon
de mon enfance, fauché par un fou de Dieu, chantre
lent de la femme et de l'imagination, dépoussiéré

soudain, à Vic, dans les premiers jours d'avril.
Les mots manquent qui fourmillent parfois. J'en entends
à présent chaque inflexion, la brillante tessiture.

Cela fait vingt fois que je vous écoute et déjà la nuit
avance et déjà la nuit se finit. Nito et Pep que je ne
connais pas, continuez de nous enchanter. Longtemps.