Pourtant ce ne furent pas toujours
des fleurs. Mes glycines premières,
ce fut une maison en ruine, en marge

de mon quartier. Une maison qu'on
disait close autrefois et qui ne le
fut vraiment qu'après la loi Marthe

Richard. Je commençais l'adolescence.
J'étais lourd et pataud. Je savais que
mes camarades y allaient, avec leur tendre
amie. Que n'aurais-je donné pour m'y rendre

comme eux...