Pourtant, rien, en apparence, n'a changé :
sur ses genoux le panier en osier avec des

sachets de pralines. Rances. Toutes. Et que
tout Béziers lui achète par tradition ou par bon

cœur. Chouchou s'essuie la frange longue
et rare. Il a chaud. Le printemps est arrivé.

Enfin.