Ton bras zébrant mon absence
Par Michel Bourret Guasteví le mercredi 17 août 2011, 08:53 - Lien permanent
La nuit était brûlante, souvent je me levai
abreuver ma peau sèche aux douches de l'étage.
abreuver ma peau sèche aux douches de l'étage.
À chaque fois, je vis, sur le retour, ton bras
inconscient qui avait pris ma place sur le lin terne.
Tes doigts repliés étaient comme un appel confiant
à ma présence à tes côtés dans les replis du sommeil.
Aussi souvent que je revins et que je m'allitai,
ton bras s'en retourna, serein, garder ton joli sein.
inconscient qui avait pris ma place sur le lin terne.
Tes doigts repliés étaient comme un appel confiant
à ma présence à tes côtés dans les replis du sommeil.
Aussi souvent que je revins et que je m'allitai,
ton bras s'en retourna, serein, garder ton joli sein.