Ton piano
Par Michel Bourret Guasteví le jeudi 12 janvier 2012, 05:18 - l'écume des jours - Lien permanent
Il t'attend patiemment, au creux de mon cœur,
ce piano mélodieux que ta jeunesse m'apprit.
ce piano mélodieux que ta jeunesse m'apprit.
Il t'attend patiemment et me fait vivre enfin
quand la nuit sans sommeil perd de son silence
pour quelques notes sous tes doigts. Alors
il n'est plus de Chopin, Liszt ou même Mozart
mais la courbe de ta main m'inventant des chemins
au cœur des mélodies que je croyais inaccessibles.
quand la nuit sans sommeil perd de son silence
pour quelques notes sous tes doigts. Alors
il n'est plus de Chopin, Liszt ou même Mozart
mais la courbe de ta main m'inventant des chemins
au cœur des mélodies que je croyais inaccessibles.