Alors les champs se remplirent, timidement,
en leurs bords tièdes de pétales de soie,
d'onguents, de fraîcheurs infinies, de silences

comme des cris le soir quand on ne croit plus au
jour et qu'elle seule sait, vraiment, où l'on doit

placer ses pas pour s'en aller heureux, le cœur léger, l'âme bleue.