Mes semelles-divan
Par Michel Bourret Guasteví le mercredi 11 avril 2012, 16:28 - l'écume des jours - Lien permanent
Le ciel est gris et la route poudreuse.
Mes pas se perdent à aller et à venir
le long de routes devinées plus que sues.
Mes pas se perdent à aller et à venir
le long de routes devinées plus que sues.
Je me rends compte que sans toi, mon éclose,
même pour de courtes heures, je m'étiole
et trépigne. Je rêve de havres sereins,
de caravansérails bariolés le long des routes
du sel. Qu'importe, je reprends ma marche,
moi l'homme aux semelles-divan pour tes sommeils
de reine.
même pour de courtes heures, je m'étiole
et trépigne. Je rêve de havres sereins,
de caravansérails bariolés le long des routes
du sel. Qu'importe, je reprends ma marche,
moi l'homme aux semelles-divan pour tes sommeils
de reine.