Complicité
Par Michel Bourret Guasteví le samedi 18 août 2012, 08:52 - l'écume des jours - Lien permanent
La complicité ne se dit pas,
elle se vit légère comme le tulle
clair. Elle n'a pas d'heure et ne connaît
elle se vit légère comme le tulle
clair. Elle n'a pas d'heure et ne connaît
ni le jour ni la nuit. Il suffit que tes
commissures se plissent et que tes paupières
bougent légèrement pour que je ressente
ton besoin de t'asseoir au bord de la rivière,
les pieds dans l'eau, le regard dans l'azur
finissant, et que nous tirions du sac ces jeux
que nous affectionnons. La complicité a un nom,
c'est vrai, elle a surtout une pratique qui
grandit quand le cœur bat plus vite. Enfin !
commissures se plissent et que tes paupières
bougent légèrement pour que je ressente
ton besoin de t'asseoir au bord de la rivière,
les pieds dans l'eau, le regard dans l'azur
finissant, et que nous tirions du sac ces jeux
que nous affectionnons. La complicité a un nom,
c'est vrai, elle a surtout une pratique qui
grandit quand le cœur bat plus vite. Enfin !