Silence de la nuit
Par Michel Bourret Guasteví le mercredi 5 septembre 2012, 05:12 - l'écume des jours - Lien permanent
Le silence de la nuit bruisse de tes mots rêvés
puis oubliés, puis rêvés à nouveau. Leur sens
s'évanouit aussitôt que perçu. Reste ta voix,
puis oubliés, puis rêvés à nouveau. Leur sens
s'évanouit aussitôt que perçu. Reste ta voix,
ma voie qui me guide et me tient éveillé. Je
ferme les yeux et la main droite. Goût d'eau
fraîche, parfum de fleurs d'automne. Bien être.
Il faudra que je te parle de ces visites de
ta voix, la nuit. Si je m'en souviens au réveil.
Pour l'heure, je me drape et te rejoins. Dors-tu ?
ferme les yeux et la main droite. Goût d'eau
fraîche, parfum de fleurs d'automne. Bien être.
Il faudra que je te parle de ces visites de
ta voix, la nuit. Si je m'en souviens au réveil.
Pour l'heure, je me drape et te rejoins. Dors-tu ?