Vendres
Par Michel Bourret Guasteví le jeudi 27 décembre 2012, 06:12 - l'écume des jours - Lien permanent
On la dit née de Vénus, déesse de l'amour.
Pour moi, Vendres est une lande de sable
et un jardin sans fin. Je l'ai connue, il y a
Pour moi, Vendres est une lande de sable
et un jardin sans fin. Je l'ai connue, il y a
longtemps déjà quand l'été grossissant
de sa consœur taisait l'étroite frontière.
Nous y parlions avant que la nuit n'avale
ta voix de retour sur tes terres. Je l'ai arpentée
ensuite avec mon fils petit qui aimait sur sa rive
creuser des douves, animer des châteaux. Je l'ai
découverte enfin, par delà ses confins, avec un ami
précieux, dentiste à la ville et photographe inouï, avec
qui je parlais sans fin de ta beauté brunie par l'été éternel.
de sa consœur taisait l'étroite frontière.
Nous y parlions avant que la nuit n'avale
ta voix de retour sur tes terres. Je l'ai arpentée
ensuite avec mon fils petit qui aimait sur sa rive
creuser des douves, animer des châteaux. Je l'ai
découverte enfin, par delà ses confins, avec un ami
précieux, dentiste à la ville et photographe inouï, avec
qui je parlais sans fin de ta beauté brunie par l'été éternel.