Gioconda
Par Michel Bourret Guasteví le mercredi 16 janvier 2013, 08:11 - l'écume des jours - Lien permanent
Pourquoi passé-je de longues heures
à contempler ton visage serein sur les
photos prises un jour dans la ville chérie ?
à contempler ton visage serein sur les
photos prises un jour dans la ville chérie ?
Le sommeil pèse qui englue mes mains
et mon entendement mais il n'est pour
rien dans cette lente et longue admiration.
Non, je bois les mystères de ton sourire,
mia gioconda de la notte. Tes lèvres closes,
suspendues au temps ralenti, sur le rythme
de la marche lente. La parole n'est plus ou
n'est pas encore. Seul le rire saura libérer
le sourire secret et l'enfermer enfin dans
l'écrin de mon téléphone photographe.
À jamais ? Non, jusqu'à cette heure mauve
où la parole naît des silences de ton sourire.
et mon entendement mais il n'est pour
rien dans cette lente et longue admiration.
Non, je bois les mystères de ton sourire,
mia gioconda de la notte. Tes lèvres closes,
suspendues au temps ralenti, sur le rythme
de la marche lente. La parole n'est plus ou
n'est pas encore. Seul le rire saura libérer
le sourire secret et l'enfermer enfin dans
l'écrin de mon téléphone photographe.
À jamais ? Non, jusqu'à cette heure mauve
où la parole naît des silences de ton sourire.