Je ne les aime plus. Ce sont des parallélépipèdes
durs et froids aux arêtes vives qui ne cherchent

que la fusion destrucrice. Je leur préfère des aimants
clairs et odorants, des aimants aux formes insoupçonnées

et toujours changantes : ta peau contre la mienne qui se cherchent,
s'unissent et se disjoignent sans jamais se détruire... mon aimante.